S'il y a des souliers dans lesquels je ne rêve pas d'être en ce moment, c'est ceux de Mark Zuckerberg, le (jeune) milliardaire sur papier qui a créé Facebook, et dont la fortune virtuelle semble fondre comme peau de chagrin.

Alors que Facebook était évalué à 15 milliards il n'y a pas si longtemps, il ne se trouve plus grand monde dans la Silicon Valley prêt à allonger les dollars pour acquérir le site. C'est que Facebook, malgré ses 150 millions d'utilisateurs actifs, a tout juste réussi à s'accaparer 1,1% du marché américain de la publicité en ligne (selon ComScore, en juin). Des pinotes.

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