Aperçu des actualités de la semaine dans le monde de la techno.

iPap

Simplifier la vie des automobilistes cherchant du stationnement, permettre à ceux qui quittent une place de vendre le temps restant : voilà en résumé l’idée ingénieuse de l’application montréalaise iPap. Développée en 2009 par l’ingénieur Ruddy Opimbat comme un simple outil de partage désintéressé, iPap s’est enrichie depuis janvier dernier de cette incitation financière. « La personne garée dans la rue annonce qu’elle partira dans 5 à 10 minutes et y met un prix entre 1 et 20 $ », explique-t-il. Les transactions passent par la plateforme Stripe. Il estime qu’une vingtaine d’offres par jour sont annoncées à Montréal en ce moment, ce qui est très peu. « On y va doucement, mais on est très confiants », dit M. Opimbat.

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Google Glass

PHOTO TIRÉE DU SITE GOOGLE.COM

Les « Glass Enterprise Edition », lancées en 2017, permettaient entre autres à des travailleurs en usine de voir apparaître des informations sur leurs lunettes. Elles servaient aussi à la formation et à la communication. Google ne les vend plus depuis le 15 mars dernier.

C’est un peu une deuxième mort des Google Glass. Peu de gens le savaient, mais ces fameuses lunettes de réalité augmentée qui avaient suscité la controverse entre 2011 et 2015 avant d’être retirées du marché continuaient à être utilisées par des entreprises. Les « Glass Enterprise Edition », lancées en 2017, permettaient entre autres à des travailleurs en usine de voir apparaître des informations sur leurs lunettes. Elles servaient aussi à la formation et à la communication. À leur tour de disparaître, alors que sur la page officielle de Google, on a annoncé la fin des ventes de ces lunettes depuis le 15 mars, avec maintien du service à la clientèle jusqu’au 15 septembre prochain. Google n’a fourni aucune explication.

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Bayonetta Origins

IMAGE FOURNIE PAR NINTENDO

On retourne en enfance avec Bayonetta Origins : Cereza and the Lost Demon, qui met en scène Cereza, une fillette qui commence à maîtriser ses faibles pouvoirs magiques pour libérer sa mère.

Oubliez les combats étourdissants teintés de sexualité. Bayonetta Origins : Cereza and the Lost Demon est plutôt un jeu onirique avec une petite touche d’action-aventure à la Mario. On retourne en enfance avec Bayonetta Origins, qui met en scène Cereza, une fillette qui commence à maîtriser ses faibles pouvoirs magiques pour libérer sa mère. La mécanique des combats est déroutante, Cereza et son démon Chouchou étant contrôlés séparément par les deux joysticks de la manette. L’histoire est prenante, quoique la structure en forme de conte force un déroulement plutôt linéaire et répétitif, et le graphisme est magnifique. Mais ceux qui espéraient un nouvel épisode dans la lignée de ceux qu’on a connus depuis 2009 resteront sur leur faim.

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