Aperçu des actualités de la semaine dans le monde de la techno.
Indie Asylum
Ubisoft, Nintendo et PlayStation ont leurs grands-messes, une dizaine d’indépendants québécois regroupés au sein du collectif Indie Asylum auront maintenant leur petite célébration. Le tout premier Asylum Direct, qui se déroulera mardi prochain à 12 h 30 sur les chaînes YouTube et Twitch, durera une quarantaine de minutes et comportera annonces, entrevues, images exclusives et nouvelles de jeux comme Roots of Yggdrasil ou This Bed We Made et beaucoup d’humour. « C’est un effort titanesque », avoue Antoine Bordeleau, directeur général de l’agence Purple Is Royal, qui réalise le projet. « Ce ne sera pas un enfilement de bandes-annonces, on a fait le petit pas de plus. » On espère répéter l’expérience une fois par année.
Regardez l’accroche officielleNETendances 2022
On s’en doute à voir l’offre dans les magasins d’électronique, la télévision intelligente est maintenant majoritaire dans les foyers québécois, avec un taux de pénétration de 57 % selon le Portrait numérique NETendances 2022 publié ce jeudi. On y apprend en outre que les montres intelligentes et les bracelets connectés sont loin d’être marginaux : 30 % des foyers en ont un, comparativement à 16 % trois ans plus tôt. Même tendance à la hausse pour les abonnements à un service payant de visionnement en ligne : 68 % des Québécois en ont au moins un, Netflix dans 51 % des cas. Près du quart des Québécois, plus précisément 24 %, ont trois services ou plus.
Dead Space
Le remake de Dead Space, concocté par le studio montréalais Motive et sorti vendredi, bénéficie des améliorations techniques offertes en 2023, mais ne renie pas ses origines de 2008. Au menu : plaisir sans remords de déchiqueter ses ennemis, angoisse, énigmes et un scénario qui va droit au but. Le graphisme est somptueux, inquiétant à souhait et bourré de gadgets qui feront plaisir aux amateurs de science-fiction. Par contre, tout se passe dans le vaisseau, avec ses couloirs, ses pièces fermées et parfois de grandes salles ouvertes. La répétition des missions-attaques-énigmes est parfois lassante. À consommer avec modération, donc, comme tout plaisir. Et Dead Space en est indéniablement un.
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