Lancée en 2015 au Canada, l’application de paiement mobile de Starbucks est rapidement devenue la plus populaire, utilisée par 42 % des « payeurs mobiles », rapportait La Presse en 2016.

Starbucks

L’application n’a été offerte au Québec en français que le 13 septembre dernier. Très dense, elle n’est pas la plus jolie des applications, mais on peut y commander et payer plus de 132 cafés et thés, avec « 170 000 façons de personnaliser les boissons », et 54 aliments dans 70 Starbucks participants, repérables par géolocalisation. Pourquoi sept ans d’attente ? « La priorité a été accordée à d’autres services pratiques pour nos clients, comme la livraison et le service au volant », répond sobrement par courriel Loïc Lebrat, directeur régional des opérations chez Starbucks Canada.

Lisez le communiqué de Starbucks

iMessage

CAPTURE D’ÉCRAN D’UN IPHONE

La nouvelle fonction qui permet d’éditer et d’effacer des textos ne fonctionne bien qu’entre iPhones mis à jour avec le système d’exploitation iOS 16. Dans l’exemple ci-dessus, où le destinataire n’a pas effectué sa mise à jour, les deux versions du message continuent d’apparaître et on ne peut effacer le texto.

Une des fonctions clés du nouveau système d’exploitation pour iPhone lancé lundi, iOS 16, est la possibilité d’éditer ou d’effacer les textos dans iMessage, dans des délais respectifs de 15 et 2 minutes. Mais il y a de nombreuses nuances, avons-nous constaté. Entre iPhones sur lesquels iOS 16 a été installé, aucun problème : celui qui reçoit les textos les voit se transformer ou s’effacer, avec une note indiquant qu’il y a eu changement. Si votre destinataire n’a pas iOS 16, il verra les deux textos, l’original et le modifié, et ils ne s’effaceront pas. L’envoi sur un téléphone Android n’est pas modifiable. Bref, n’espérez pas que cette fonction vous sauvera de la catastrophe à coup sûr.

Découvrez les nouveautés d’iOS 16

Assassin’s Creed Mirage

IMAGE FOURNIE PAR UBISOFT

Le scénario du prochain Assassin’s Creed, Mirage, est alléchant, avec un retour aux sources de l’assassin qui a permis à Ubisoft de vendre 200 millions d’exemplaires, avec lequel on se retrouve dans le Bagdad du IXe siècle.

Il faudra attendre 2023, près de trois ans après le dernier épisode, pour le prochain Assassin’s Creed, Mirage. Et contrairement aux dernières œuvres, ce n’est pas Québec ou Montréal qui en est le chef d’orchestre, mais Bordeaux. Le scénario est alléchant, avec un retour aux sources de l’assassin qui a permis à Ubisoft de vendre 200 millions d’exemplaires, avec lequel on se retrouve dans le Bagdad du IXsiècle. Ubisoft n’a pas fait une croix sur les épisodes classiques pour les remplacer, comme certains l’ont craint, par des « univers persistants » : Ubisoft Québec prépare ainsi un opus se déroulant dans le Japon féodal et Montréal prendra le relais, avec un jeu dont le nom de travail est « Codename HEXE ».

Consultez le résumé d’Ubisoft Forward 2022