Pour la première fois, une équipe canadienne, en l’occurrence celle de l’Université Dalhousie, à Halifax, a réussi, à la fin de décembre, à se rendre en finale d’un curieux concours mêlant jeu vidéo et intelligence artificielle, le RoboCup Japan Open.

Sous des allures bébêtes, ces jeux sont en fait de petits bijoux d’apprentissage profond, où chaque « joueur » en forme de pastille prend ses propres décisions. « Ce sont des agents autonomes qui s’organisent en équipes, comme des joueurs de foot, qui se mettent ensemble pour vaincre des obstacles », explique Stan Matwin, titulaire de la Chaire de recherche du Canada et directeur de l’Institute for Big Data Analytics. Le but est d’arriver d’ici 2050 à mettre sur le terrain une équipe composée de robots autonomes.

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Star Wars chez Ubisoft

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C’est le studio Massive, établi à Malmö, en Suède, qui sera le chef d’orchestre du prochain jeu vidéo narratif basé sur Star Wars.

Les fans de Star Wars attendent toujours le chef-d’œuvre de jeu vidéo d’aventures, et c’est maintenant Ubisoft qui porte leurs espoirs. Le géant français du jeu vidéo a annoncé cette semaine « une nouvelle aventure narrative Star Wars en monde ouvert » dont très peu de détails ont été révélés. Il s’agira d’un « monde immersif » pour lequel on promet « une authenticité incroyable, une profondeur et un caractère innovant ». C’est le studio Massive, établi à Malmö, en Suède, qui en sera le chef d’orchestre. Il utilisera le même moteur de jeu, Snowdrop, que son jeu emblématique The Division, un monde ouvert de tir tactique à la troisième personne. Ubisoft n’a pas confirmé la participation de son plus important studio, celui de Montréal, à ce projet.

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Indice de réparabilité

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Depuis le 1er janvier, les téléphones, ordinateurs, télévisions, laveuses et même tondeuses vendus en France sont sous le coup d’une nouvelle loi obligeant les fabricants à afficher leur « indice de réparabilité ».

Depuis le 1er janvier, les téléphones, ordinateurs, télévisions, laveuses et même tondeuses vendus en France sont sous le coup d’une nouvelle loi obligeant les fabricants à afficher leur « indice de réparabilité ». Cette note de 1 à 10 est calculée par les entreprises elles-mêmes et vérifiée par un organisme responsable. Il n’y aura pas d’amendes avant janvier 2022. En attendant, le site mis sur pied pour cette initiative, encore très préliminaire, est tout de même instructif et permet de repérer quelques champions de la réparabilité. Le Galaxy S20FE de Samsung trône ainsi chez les téléphones avec un 8,1 sur 10. Le fabricant sud-coréen offre également la télé la plus réparable, la QLED 85Q80T, notée 7,2 sur 10.

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