Le commerce électronique peut-il être hyperlocal, éthique et écologique ? C’est le concept très audacieux derrière Cercle local, toute nouvelle plateforme qui regroupe une quarantaine de sites transactionnels de commerçants du Mile End et du Plateau Mont-Royal.

Les produits commandés sont livrés généralement à vélo en moins de 24 heures, et les commerçants participants décident eux-mêmes de leur contribution. « Le commerçant paie selon la valeur qu’il perçoit ; on croit en la bonne foi humaine, explique David Habak, un des trois cofondateurs de Cercle local. Amazon et DoorDash prennent jusqu’à 30 % des ventes, ce sont des modèles brisés. On veut changer ça. » On espère ajouter d’ici quelques mois tous les quartiers montréalais ayant une forte densité commerciale.

> Consultez le site de Cercle local

Beenox

IMAGE EXTRAITE DU SITE ACTIVISION.COM

La centaine de recrues de Beenox se consacreront essentiellement au développement de contenus pour Call of Duty – Warzone, un jeu de battle royale gratuit au téléchargement qui attire 85 millions de joueurs dans le monde.

Avec l’annonce cette semaine de l’embauche d’une centaine de personnes, qui fera passer les effectifs de 300 à 400 employés, le studio Beenox confirme que le jeu vidéo a le vent dans les voiles à Québec. Les recrues se consacreront essentiellement au développement de contenus pour Call of Duty – Warzone, un jeu de battle royale gratuit au téléchargement qui attire 85 millions de joueurs dans le monde. Fait exceptionnel dans l’industrie du jeu vidéo, et même si Beenox appartient à l’américaine Activision depuis 2005, on privilégie l’embauche de francophones, au Québec, mais également en France et en Belgique. « Chez nous, c’est en français que ça se passe et les autres doivent s’adapter, c’est une réalité qu’on présente avant l’embauche », explique Thomas Wilson, codirecteur du studio.

> Lisez le communiqué de Beenox

Google Home Max

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

Sans tambour ni trompette, le Google Home Max a été retiré du catalogue, et aucun remplaçant n’a été annoncé.

Il pesait plus de 5 kg, faisait 33 cm en largeur et coûtait 499 $ à son lancement, en mai 2018. Deux ans et demi plus tard, le Google Home Max, seule incursion du géant des moteurs de recherche dans le monde des haut-parleurs intelligents haut de gamme, n’est plus. Sans tambour ni trompette, l’appareil a été récemment retiré du catalogue, et aucun remplaçant n’a été annoncé. « Nous avons épuisé nos stocks de Google Home Max et ne fabriquerons plus l’appareil, a expliqué à La Presse Luiza Staniec, porte-parole de Google Canada. Avec le lancement de Nest Audio, nous proposons une nouvelle gamme de solutions audio pour la maison, en particulier avec deux Nest Audio couplés pour un son stéréo. »

> (Re)lisez notre critique du Google Home Max