On en saura officiellement davantage au sujet de l'état d'avancement des travaux sur l'avion écologique, au début de l'été.

Si on en croit Dominique Sauvé, directrice du Regroupement pour le développement de l'avion plus écologique: «On a atteint une belle vitesse de croisière.»

Il ne s'agit pas du design d'un nouvel appareil en soi, mais de l'amélioration des composantes habituelles des appareils courants. On veut faire la guerre au poids et aux dépenses en carburant. On veut réduire le temps de vol par des systèmes informatiques mieux intégrés. On veut aussi réduire la pollution auditive des appareils.

Et on compte sur un budget total de 150 millions, dont 80 millions proviennent de six entreprises établies au Québec (Bombardier, Bell Hélicoptères, Pratt&Whitney, Esterline, Thalès Canada et Héroux Devtek), dont les équipes avancent déjà rapidement dans le projet.