Wall Street a fini en légère hausse mercredi, tirée par les secteurs bancaire et de l'énergie grâce à de bons résultats d'entreprises et à un pétrole en hausse: le Dow Jones a gagné 0,22% et le Nasdaq 0,05%.

Wall Street a fini en légère hausse mercredi, tirée par les secteurs bancaires et de l'énergie grâce à de bons résultats d'entreprises et à un pétrole en hausse: le Dow Jones a gagné 0,2% et le Nasdaq 0,05%.

Selon les résultats définitifs, l'indice vedette Dow Jones a pris 40,68 points à 18 202,62 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 2,58 points à 5246,41 points. L'indice élargi S&P 500 a progressé de 4,69 points, ou 0,22%, à 2144,29 points.

Parmi les grands noms de la cote à avoir publié leurs résultats mercredi, la banque Morgan Stanley (+1,89) a enregistré un bond de son bénéfice net, grâce notamment à son activité de courtage.

«Presque tous les résultats dans la finance ont été meilleurs (que précédemment) et, même si cela a pris quelques jours, le secteur dans son ensemble commence à réagir positivement», a indiqué Michael James de Wedbush Securities.

«La combinaison des bons chiffres d'Halliburton et d'un prix du pétrole atteignant un plus haut niveau en 15 mois a aidé tout ce qui est lié à l'énergie», a rapporté Michael James.

Le brut a atteint à New York un record depuis juillet 2015, dopé par l'espoir d'une résorption durable de la surabondance d'or noir après l'annonce inattendue d'une baisse des réserves américaines.

Rare fausse note, le géant américain des puces informatiques Intel (-5,9%), membre du Dow Jones, a pesé sur le secteur technologique en faisant état de prévisions plus prudentes qu'anticipé.

Au total, «les investisseurs s'attendent à ce que les résultats d'entreprises soient meilleurs qu'ils ne l'avaient anticipé pour le troisième trimestre», a indiqué Sam Stovall de CFRA.

Avant le début de la saison des Le cours du pétrole brut a atteint mercredi son plus haut niveau en plus d'un an, ce qui a permis à la Bourse de Toronto de clôturer à un sommet depuis juin 2015.

Le prix du baril de brut a bondi de 1,20 $ US pour terminer les échanges à 51,82 $ US à la Bourse des matières premières de New York. En comparaison, le baril valait 26,21 $ US à la mi-février.

«Le marché était indéniablement alimenté par les ressources premières aujourd'hui», a observé Peggy Bowie, une opératrice principale chez Gestion d'actifs Manuvie.

Le ministre du Pétrole de l'Arabie saoudite, Khalid Al-Falih, a indiqué mercredi, lors d'une conférence à Londres, que l'équilibre entre l'offre et la demande s'améliorait.

Selon lui, cette situation est raffermie par l'entente conclue entre les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) il y a quelques semaines, à Alger, au sujet d'une réduction de la production.

Les détails de l'entente seront dévoilés lors d'une rencontre officielle des 14 pays membres de l'OPEP prévue le mois prochain. Le ministre Al-Falih a précisé lors de la conférence que plusieurs de ses collègues avaient discuté en coulisses de cibles de réduction de production, et que certains pays non membres du cartel s'étaient montrés intéressés à se joindre à leurs efforts.

Le gouvernement américain a en outre dévoilé mercredi ses données hebdomadaires sur le pétrole, lesquelles ont montré un recul de la production.

Le cours du lingot d'or a lui aussi connu une bonne journée, prenant 7 $ US à 1269,90 $ US l'once.

Les secteurs de l'énergie et des matériaux ont tous deux soutenu l'indice composé S&P/TSX de la Bourse de Toronto, qui a avancé de 88,24 points à 14 840,49 points.

Sur Wall Street, la moyenne Dow Jones des valeurs industrielles a avancé de 40,68 points à 18 202,62 points, tandis que l'indice élargi S&P 500 a pris 4,69 points à 2144,29 points. L'indice composé du Nasdaq a gagné 2,57 points à 5246,41 points.

Le dollar canadien s'est quant à lui déprécié de 0,05 cent US à 76,18 cents US.

Ailleurs à la Bourse des matières premières de New York, le cours du cuivre est resté relativement inchangé à 2,10 $ US la livre.  le consensus des analystes prévoyait un léger recul des bénéfices des entreprises de l'indice S&P 500 par rapport à la même période l'an passé, mais les premières publications ont généralement été au-dessus des attentes.

Le cours du pétrole brut a atteint mercredi son plus haut niveau en plus d'un an, ce qui a permis à la Bourse de Toronto de clôturer à un sommet depuis juin 2015.

Le prix du baril de brut a bondi de 1,20 $ US pour terminer les échanges à 51,82 $ US à la Bourse des matières premières de New York. En comparaison, le baril valait 26,21 $ US à la mi-février.

«Le marché était indéniablement alimenté par les ressources premières aujourd'hui», a observé Peggy Bowie, une opératrice principale chez Gestion d'actifs Manuvie.

Le ministre du Pétrole de l'Arabie saoudite, Khalid Al-Falih, a indiqué mercredi, lors d'une conférence à Londres, que l'équilibre entre l'offre et la demande s'améliorait.

Selon lui, cette situation est raffermie par l'entente conclue entre les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) il y a quelques semaines, à Alger, au sujet d'une réduction de la production.

Les secteurs de l'énergie et des matériaux ont tous deux soutenu l'indice composé S&P/TSX de la Bourse de Toronto, qui a avancé de 88,24 points à 14 840,49 points.

Le dollar canadien s'est quant à lui déprécié de 0,05 cent US à 76,18 cents US.

- Avec La Presse canadienne