L'instabilité politique au Moyen-Orient va continuer de se faire sentir et d'influencer les marchés financiers au cours de la prochaine semaine.

L'impact se fait déjà sentir de plusieurs façons en Bourse comme à la pompe à essence, mais qui sait si le prix du brut s'en va à 200 $ où à 70$ le baril?

«Le brut devra grimper beaucoup plus encore avant de pouvoir menacer la reprise économique mondiale», dit l'économiste en chef de la Banque TD, Craig Alexander.

«Les craintes des investisseurs ont fait monter les prix, mais ces craintes devront être validées dans les prochains mois sinon les prix vont redescendre. Si les risques géopolitiques s'étendent aux gros pays exportateurs de pétrole, la prime de risque va augmenter. Cette éventualité ou de véritables perturbations dans l'offre pourrait poser une menace à la reprise. C'est un scénario encore peu probable, mais il faut garder l'oeil ouvert.»

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