De nouvelles données du Service canadien de renseignement criminel (SCRC) suggèrent que les fraudeurs économiques sont plus actifs - ou que les Canadiens sont plus futés.

Le dernier rapport du SCRC démontre que 29% des Canadiens ont affirmé avoir été approchés pour participer à une fraude en 2009. Il s'agit d'une hausse par rapport à 17% en 2007 et à 14% en 2006.

Cela pourrait indiquer que les fraudeurs, avec un accès à des médias sociaux comme Facebook, accroîtraient leurs activités, ou que les Canadiens deviennent plus difficiles à berner, avertis par des indices qui laisseraient présager d'une arnaque.

Ces indices comprennent le refus de fournir de la documentation écrite, la vente sous haute pression, les hauts rendements à faible risque, et la promesse d'informations privilégiées.