Hollinger, la société de portefeuille qui a déjà été contrôlée par l'ex-magnat de la presse Conrad Black, affirme qu'elle luttera pour demeurer sous la protection de la Loi sur les faillites afin de pouvoir aller de l'avant avec les poursuites intentées contre Black et de grandes banques, et possiblement avoir gain de cause.

Hollinger, la société de portefeuille qui a déjà été contrôlée par l'ex-magnat de la presse Conrad Black, affirme qu'elle luttera pour demeurer sous la protection de la Loi sur les faillites afin de pouvoir aller de l'avant avec les poursuites intentées contre Black et de grandes banques, et possiblement avoir gain de cause.

Le chef de la direction de Hollinger, Wesley Voorheis, nommé par intérim en janvier, avant d'avoir officiellement pris la direction de l'entreprise en juin, a affirmé jeudi que les réclamations fondées en droit constituaient des actifs «de valeur».