David Radler, un ancien associé de Conrad Black qui avait été emprisonné pour une affaire de fraude de plusieurs millions de dollars impliquant le groupe de presse Hollinger International, obtient une remise en liberté conditionnelle.

David Radler, un ancien associé de Conrad Black qui avait été emprisonné pour une affaire de fraude de plusieurs millions de dollars impliquant le groupe de presse Hollinger International, obtient une remise en liberté conditionnelle.

Il avait été condamné plus tôt cette année à une peine d'emprisonnement de 29 mois aux États-Unis et avait été transféré en septembre dans une prison canadienne.

Dans une décision rendue publique lundi, la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) a accordé à Radler une libération conditionnelle totale.

L'organisme n'a pu voulu confirmer si Radler était sorti de prison, mais l'homme était en mesure de le faire dès dimanche.

En accordant à Radler une libération conditionnelle, la CNLC a expliqué que son crime n'avait pas été de nature violente.

L'organisme a ajouté que Radler avait commis son crime pour réaliser un gain financier.

Radler a plaidé coupable à un chef d'accusation de fraude postale, dans le cadre d'une entente en vertu de laquelle il a accepté de témoigner contre ses co-accusés.

Six autres accusations de fraude qui avaient été portées contre lui ont été abandonnées en raison de sa collaboration avec la justice.