Si les fusions et acquisitions représentent le pain et le beurre des grands cabinets d'avocats canadiens, les tartines seront nourrissantes l'an prochain.

Si les fusions et acquisitions représentent le pain et le beurre des grands cabinets d'avocats canadiens, les tartines seront nourrissantes l'an prochain.

À moins d'un ralentissement plus marqué que prévu de l'économie nord-américaine, l'industrie des fusions et acquisitions (F-A) trépidera autant que 2006, l'année de tous les records.

«C'est clair qu'on est rendu à un point assez élevé dans le cycle, mais je

reste optimiste», résume Robert Yalden, co-président du groupe F-A au

cabinet Osler.

Le dernier haut de cycle est survenu en 2000 quand se sont créés des géants,

pour ne pas écrire des monstres, dans les télécommunications et les

technologies de l'information.

Cette fois-ci, l'activité vient d'à peu près tous les secteurs. La source tarira moins vite, croit M. Yalden.

Plus de détails dans La Presse du samedi 16 décembre