Pour s'y retrouver dans un labyrinthe de 700 kiosques, les congressistes ont besoin d'indications claires.

Pour s'y retrouver dans un labyrinthe de 700 kiosques, les congressistes ont besoin d'indications claires.

C'est la mission de Geneviève Mayer, graphiste chez Optimum Graphiques, à Laval: créer la signalisation qui aidera le visiteur à s'orienter. Sans oublier la multitude d'affiches et de bannières qui rivalisent pour attirer l'attention du client potentiel.

À l'aide du logo de l'entreprise, des couleurs corporatives et de photos, Mme Mayer crée des graphiques d'exposition. Ceux-ci seront ensuite imprimés sur d'énormes imprimantes, coupés et laminés par ses collègues. Les pancartes doivent être résistantes, car elles seront déplacées maintes fois. Résistantes au feu, aussi. C'est pourquoi on utilise du PVC ignifuge.

La jeune femme, qui fait ce travail depuis cinq ans, aime pouvoir créer une diversité de kiosques.

"Il y a des vagues, un peu comme dans la mode, dit-elle. Ça va avec les couleurs tendance. L'évolution des équipements permet de faire des choses qui n'étaient pas possibles il y a cinq ans."

Mme Mayer détient un diplôme d'études professionnelles en infographie.

La minutie, le souci du détail et la rapidité sont essentiels pour bien réussir, précise-t-elle.

Cela dit, les graphistes profitent aussi de l'intérêt des congressistes pour les questions environnementales.

Peu à peu, les dépliants et les brochures font place aux sites internet et aux clés USB, sur lesquels on retrouve facilement les informations recherchées.

Pour en savoir plus:

www.workopolis.com

(sur la page d'accueil utilisez Recherche rapide ou les liens RapidEmploi)

Pour avoir une description du poste:

www.monemploi.com