Lors d'une semaine assez mouvementée chez les initiés des entreprises canadiennes, quelques transactions au niveau des banques ont de quoi retenir l'attention.

Lors d'une semaine assez mouvementée chez les initiés des entreprises canadiennes, quelques transactions au niveau des banques ont de quoi retenir l'attention.

En premier lieu, Lawrence Bloomberg, administrateur à la Banque Nationale [[|ticker sym='T.NA'|]], réalise deux grosses ventes.

Il se départit de 50 000 actions à 53,90 $ chacune le 7 décembre. Quatre jours plus tard, il vend 25 000 autres titres ordinaires pour 53,92 $ l'unité. Il lui en reste toujours 440 517 après ces deux ventes, ayant récolté un peu plus de 4 M$ en quelques jours.

Du côté de la Banque TD [[|ticker sym='T.TD'|]], l'administrateur John Bragg achète 27 000 actions à 73,05 $ l'unité le 12 décembre. Il débourse un total de 1,97 M$ pour acheter ces actions.

Une fois la transaction faite, il détient 32 847 actions ordinaires de la TD dans son portefeuille.

À la Banque de Montréal [[|ticker sym='T.BMO'|]], l'administrateur Robert Astley achète 5000 actions à 62,58 $ l'unité le 30 novembre. Cela lui coûte 312 900 $. Après coup, il détient 11 485 actions de BMO.

Dans l'actualité récente, les banques canadiennes ont résisté à la crise du crédit pour déclarer des profits records de 19,51 G$ lors de leur exercice 2007.

Ces dernières semaines, leurs titres ont connu une performance en dents de scie en raison des craintes liées à la mini-crise du crédit et des résultats qui ont rassuré le marché.