À Nicolet, l'inquiétude venait plutôt de la crainte du milieu que le passage des opérations de SNC TEC à la compagnie américaine débouche sur un accroissement des activités au CEEM alors que plusieurs souhaiteraient plutôt le voir fermer, quitte à ce qu'on utilise plutôt comme site de plein air le vaste terrain situé en bordure du fleuve.

À Nicolet, l'inquiétude venait plutôt de la crainte du milieu que le passage des opérations de SNC TEC à la compagnie américaine débouche sur un accroissement des activités au CEEM alors que plusieurs souhaiteraient plutôt le voir fermer, quitte à ce qu'on utilise plutôt comme site de plein air le vaste terrain situé en bordure du fleuve.

Or, en mai dernier, les autorités concernées s'étaient montrées rassurantes à l'endroit du maire de Nicolet et des députés fédéraux de la région en soulignant notamment qu'aucun produit ne pourrait être testé sur le site de la Défense Nationale à Nicolet sans que le gouvernement canadien ne l'ait autorisé auparavant. Ottawa resterait donc le maître du jeu à Nicolet parce qu'il resterait propriétaire des lieux.

M. Plamondon se dit quand même un peu surpris de constater que General Dynamics n'ait pas fait faire les vérifications nécessaires concernant son projet de transaction avant que celui-ci ne soit rendu public.

Ottawa attendrait donc la réponse des États-Unis avant de faire une annonce dans ce dossier. M. Plamondon dit ignorer si le projet de transaction va franchir avec succès ou non l'épreuve de la loi antitrust américaine. Selon ses dires, les dirigeants de SNC TEC seraient toutefois remplis d'espoir à ce sujet.

Quant à lui, le député se dit satisfait des garanties obtenues des représentants de General Dynamics, le printemps dernier.