"Les mentalités sont en train de changer au Québec. Depuis une année ou deux, un changement se fait mais il ne se vit pas dans les débats à la télévision où ce sont toujours les mêmes personnes qui parlent. Je suis persuadé que les gens ont cheminé. Ils voient que quelque chose ne va pas et qu'il faut un changement."

"Les mentalités sont en train de changer au Québec. Depuis une année ou deux, un changement se fait mais il ne se vit pas dans les débats à la télévision où ce sont toujours les mêmes personnes qui parlent. Je suis persuadé que les gens ont cheminé. Ils voient que quelque chose ne va pas et qu'il faut un changement."

Ce changement, a expliqué Alain Dubuc, est nécessaire si on veut que le Québec continue d'être à hauteur de ses aspirations. Mais aucun politicien n'est prêt à le proposer, de peur d'être mal reçu.

Mardi soir, le chroniqueur et essayiste Alain Dubuc s'adressait aux convives du dîner-causerie organisé par la Société de développement économique de Sherbrooke, en collaboration avec les chambres de commerce de Sherbrooke et de Fleurimont et des commanditaires privés.

Invité à résumer les idées avancées dans son plus récent ouvrage Éloge de la richesse, M. Dubuc pouvait ainsi contribuer au choc des idées que l'on veut provoquer à Sherbrooke d'ici la tenue, en 2007, du forum et du sommet de Sherbrooke.

Texte complet dans La Tribune de mercredi.