Il ne faut jamais demander son chemin à qui n'a pas erré, selon le proverbe. La relation des entrepreneurs québécois avec l'échec n'est pas simple: si la faillite est le plus souvent perçue comme un déshonneur, des gens d'affaires revendiquent aussi le droit à l'erreur.

Deux d'entre eux ont accepté de témoigner dans nos pages. Leur exemple montre que si l'expérience reste douloureuse, il est toujours possible de tourner la page. Et de foncer.

Rebâtir quand tout s'écroule

«Je suis un meilleur entrepreneur»

> Plaie d'argent n'est pas mortelle, mais...