On a longtemps pensé que l’obésité et le diabète sont causés très principalement par les quantités de graisses et de sucres qu’on consomme — et c’est loin d’être faux. Mais une équipe de l’Université Laval vient de mettre le doigt sur un possible « complice » de toutes ces calories : certaines protéines pourraient également être des facteurs de risque.

Dans une étude publiée lundi dans Nature Communications, le chercheur et spécialiste du diabète André Marette a nourri des groupes de souris avec exactement la même diète, mais en faisant varier les types de protéines qu’elles ingéraient : les unes ne mangeaient (en plus des graisses et sucres) qu’une seule protéine nommée caséine, que l’on retrouve dans le lait, tandis qu’on donnait aux autres un mélange de protéines proche d’une diète humaine « normale ».

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