Des espèces marines qui vivent au fond des océans se retrouvent porteuses de polluants issus de l'activité humaine, comme des BPC.

Et ces petites pieuvres et les autres mollusques octopodes seront ensuite mangés par de plus grands, jusqu'en haut de la chaîne alimentaire. Ultimement, la plupart des espèces étudiées par le Musée national d'histoire naturelle de Washington ne se retrouveront pas dans l'assiette des humains.

À l'exception d'une espèce de pieuvre, explique l'un des auteurs de l'étude, le professeur Michael Vecchione. Le scientifique s'étonne toutefois de retrouver des taux de polluants aussi élevés dans des mollusques vivant jusqu'à 2000 mètres de profondeur