PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE
Une cinquantaine de paramédicaux, dont certains venus d’aussi loin que la Beauce, se sont rassemblés « dans une ambiance festive », a souligné David Gagnon. Ce dernier explique que l’une des principales revendications est l’augmentation des salaires.
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Ces travailleurs demandent aussi l’abolition du type d’horaire exigeant qu’un paramédical soit de garde 24 heures sur 24 pendant sept jours, pour une période de deux semaines. L’employé ne se trouvant pas à la caserne, cela peut entraîner un délai d’une dizaine de minutes avant que l’ambulance parte vers les lieux de l’appel. « Dans certaines circonstances, chaque seconde compte », dit David Gagnon.
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Il est crucial d’avoir des conditions de travail « plus attrayantes », d’autant que le milieu paramédical est en « grave pénurie de personnel », souligne M. Gagnon.
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Quelles sont les actions à venir ? Des manifestations devant les bureaux de « tous les députés de la Coalition avenir Québec qui n’ont pas encore reçu de visite de la part des paramédicaux », affirme David Gagnon.