La «répétition de fiascos financiers comme celui de l'îlot Voyageur à l'UQAM» est toujours possible, selon une étude de l'Institut de recherche et d'informations socio-économiques dévoilée ce matin.

Trois partenariats public-privé (PPP) ont été analysés dans cette recherche - ceux de l'UQAM, de l'UQAR et de l'UQTR. Tous trois sont déséquilibrés, selon les chercheurs qui écrivent que «seul le partenaire public assume les risques financiers tandis que le partenaire privé bénéficie d'une source de revenu stable et assurée pour plusieurs années».

Les universités ont donc «fait un chèque en blanc» au privé, selon cette étude.