Convaincue que des «incidences» de santé mentale et de toxicomanie se cachent derrière le triste sort qu'a subi Rosalie Gagnon, Solange Pelland, directrice des opérations funéraires chez Harmonia, a plaidé samedi pour davantage de ressources pour cette «enfant pauvre» du réseau de la santé, à l'occasion des funérailles de la fillette de deux ans.

Audrey Gagnon, la mère de Rosalie, est accusée du meurtre non prémédité de son enfant et d'outrage à un cadavre. Détenue, elle n'a évidemment pas assisté à la cérémonie des anges tenue samedi matin pour sa fille, à l'église Saint-Rodrigue. Elle est la seule suspecte dans cette histoire et doit revenir en cour le 13 juin.

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