Simon Houle, cet ingénieur qui a bénéficié d’une absolution conditionnelle controversée pour s’être livré à une agression sexuelle et du voyeurisme, était de retour devant le tribunal ce vendredi.

Il a en effet comparu formellement au palais de justice de Saint-Jérôme pour y répondre cette fois-ci à une accusation de bris de probation à laquelle il a plaidé non coupable. S’il devait être reconnu coupable, il pourrait perdre les bénéfices de l’absolution conditionnelle obtenue en juin dernier.

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