Les programmes d’aide pour les agents vivant une période de détresse sont inefficaces. Un service 24 h/24 adapté à leur réalité doit être mis sur pied affirme la Fédération des policiers et policières municipaux du Québec (FPPMQ).

Le suicide d’un agent gatinois de 28 ans, le 21 mai dernier, avec son arme de service, non loin de la centrale de police, a ébranlé le corps policier municipal, en particulier les collègues qui ont répondu à l’appel. Il comptait sept années de service au sein du Service de police de la Ville de Gatineau. Il n’était pas en devoir lorsqu’il a posé son geste.

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