Pour la première fois en environ un mois, Raif Badawi a téléphoné à son épouse cette semaine. Celui qui appelle sa femme environ deux à trois fois par semaine en temps normal l’a informée qu’il avait cessé sa grève de la faim, qu’il était sorti de l’isolement et qu’il allait bien. Mais sa femme doute de ces informations.

« J’ai senti qu’il n’avait pas l’air bien, se désole la femme de M. Badawi, Ensaf Haidar, en entrevue téléphonique à La Tribune. Je ne dis pas qu’il n’allait pas bien. C’est une impression », clarifie-t-elle.

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