L'entreprise qui réalisait des travaux sur un mur au-dessus d'une porte cochère qui s'est effondré rue Cartier à Montréal jeudi se défend d'avoir été négligente.

Elle croit qu'un défaut de construction a transformé l'immeuble en véritable château de cartes qui menace maintenant de s'écrouler.

Selon elle, le mur avait déjà un «ventre de boeuf», c'est-à-dire une portion bombée dont les briques risquaient de se détacher.

Selon l'arrondissement de Ville-Marie, l'immeuble date de 1890.