Il faut prendre avec un grain de sel la menace de l'extrémisme musulman au pays, estime un professeur de l'École de service social de l'Université Laval. L'«obsession» à vouloir la combattre «n'a rien à voir avec la réalité quand on regarde les chiffres», selon Stéphane Leman-Langlois.

Lors d'une entrevue donnée en marge de l'annonce de la première Semaine de la recherche en sciences sociales de l'Université Laval, le criminologue de formation a expliqué que l'augmentation des effectifs policiers et juridiques afin de contrer «l'ennemi» représente un «cercle vicieux» qui contribue à le faire paraître plus dangereux qu'il ne l'est en réalité.

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