Lino Zambito défie et déconseille même à ceux qui le traitent de «menteur» dans les médias d'aller «mentir sous serment» devant la juge France Charbonneau. Notamment, a-t-il dit en entrevue à La Presse, parce qu'il a pu juger de la qualité des «informations» collectées par les enquêteurs de la Commission.

Assis au fond de sa pizzeria, Lino Zambito, l'ex-propriétaire d'Infrabec, se «sent bien». Et pas seulement parce qu'il a retrouvé sa routine quotidienne. «C'est un moment de ma vie que je devais traverser», confie-t-il, son témoignage à la Commission Charbonneau achevé.

«Bandit et menteur» pour les uns, héros à la Jean Brault pour les autres, il sourit lorsqu'on lui dit qu'un hebdomadaire français a écrit qu'il a la «gueule de l'emploi» avec «ses faux airs de Robert de Niro», sa «carrure de taureau, ses cheveux soigneusement coiffés et son costume impeccable».

Lisez la suite de l'entrevue dans La Presse de lundi.