Il n'y a pas de journalisme sans indépendance journalistique.

À La Presse, comme dans les autres grandes salles de rédaction au pays, les journalistes travaillent en toute indépendance, en ayant l'intérêt public comme seul guide.

Ce droit est sacré. Il permet aux journalistes de rédiger des reportages, d'enquêter, de rechercher la vérité et de demander des comptes aux élus et dirigeants, et ce, à l'abri de toute pression extérieure.

Ces pressions existent, bien sûr. Subir les demandes et revendications des uns et des autres fait même partie du quotidien des reporters. Mais l'indépendance des salles de rédaction par rapport aux lobbies, aux annonceurs, aux élus et aux partis politiques leur permet justement de s'élever au-dessus de ces influences afin d'accomplir leur tâche avec rigueur, professionnalisme et impartialité.

À La Presse, l'indépendance des reporters est protégée par le guide des normes journalistiques et les conventions collectives. Quant aux droits et devoirs des journalistes, ils sont balisés par le guide de déontologie de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec, qui établit les normes de la profession.

Par ailleurs, La Presse est membre du Conseil de presse du Québec, un tribunal d'honneur dont le mandat est de protéger la liberté de la presse et de défendre le droit du public à une information de qualité.

Le journalisme factuel (à distinguer du journalisme d'opinion) se fait ainsi en toute objectivité. Il ne favorise ni cause ni point de vue. Il est produit sans interférences politiques, idéologiques ou commerciales.

La Presse garantit ainsi que ses journalistes, peu importent les contraintes financières et le modèle économique, continueront de travailler en toute indépendance, avec en tête un seul intérêt : celui du public.