Des allées plus larges qu'à l'habitude, des pavillons vides et des présentations minimalistes, le 41e salon de Tokyo ressemble à une exposition régionale. Les étrangers sont rares et indifférents: ils n'occupent que 4% d'un marché profondément en crise. L'avenir se joue ailleurs: en Inde, en Chine et en Russie, où l'automobile se vend treize à la douzaine, alors qu'au Japon, un ménage sur deux rêve encore d'automobile.

Compte rendu de notre envoyé spécial éric lefrançois en pages 3 à 8