Vous avez ressenti la secousse de 5,0 qui a frappé l'est du Canada vers 13h30 aujourd'hui? Écrivez-nous à redaction@lapresse.ca. Voici une sélection effectuée à travers plus de 500 commentaires que nous avons reçus à Cyberpresse.

-Je demeure à Buckingham, très près de l'épicentre du séisme. J'étais en train de discuter avec un ami qui me rendait visite quand la terre s'est mise à trembler. On aurait dit que la maison aller s'écrouler. Toute la structure s'est mise à vibrer, si bien que nous sommes sortis en courant à toutes jambes, de peur de se retrouver dans les décombres si la maison devait s'écraser. Sur le coup, nous ne savions pas s'il s'agissait d'une bombe, d'une explosion, ou d'un écrasement d'avion qui aurait percuté la demeure. Tout se passe tellement vite mais en même temps, tellement de choses nous passent par la tête en si peu de temps!

Frédéric Clément

-Ayant vécu de nombreuses années au Japon, ayant l'expérience de tremblement de terre, je dois vous avouer toutefois qu'après avoir vécu un tremblement de terre à un niveau de 7,9 et toute la peur qui s'en suit... C'est toujours avec la panique que je revis les secousses thermiques et même les turbulences. Je me croyais à l'abri au Canada des tremblements de terre, mais la je réalise le contraire!

Bref plus de peur que de mal et à tous ceux qui voyagent au Japon rassurez-vous, les secousses sont nombreuses mais les bâtiments sont construits très solidement selon des règles très rigides.

P.S Ce gros tremblement de terre 7,9 avait tué 200 personnes à 4 heures de notre résidence au Japon. C'était au milieu de la nuit et le village n'avait pas eu le temps de se sauver du tsunami. Les vagues avaient enseveli les maisons et le feu s'était mis de la partie.

Camille Bureau

-Je travaille à Ottawa pour un ministère fédéral, donc près de l'épicentre et je dois dire que le tremblement de terre a été impressionnant même si relativement faible. Je crois qu'on est tellement pas habitué d'avoir des tremblements de terre que les gens ne savent pas quoi faire. Plusieurs sont sortis, quelques uns très apeurés, et ce fût pour le moins désagréable comme sensation. Chez moi (Hull), plusieurs objets sont tombés de mes tablettes suite au tremblement de terre.

Philippe Gougeon

-À 13h45, j'étais en train de regarder un match de foot à la télé. Tout à coup, la terre a commencé à bouger, mais c'était très doux. Je me suis demandé, «Qu'est-ce qui se passe?» Je croyais que quelqu'un était en haut mais il n'y avait pas de pas. J'ai remarqué que la porte bougeait, et j'ai réalisé que c'était un séisme. Ma mère m'a appelé et elle m'a demandé si je l'ai ressenti.

Mitchell de Toronto

-J'étais au 15e étage d'un édifice gouvernemental à Ottawa.

La secousse est parue en deux vagues... lors de la première, nous avions l'impression qu'il s'agissait de quelqu'un sur l'étage qui roulait un chariot très pesant. Par la suite, la deuxième vague qui a été ressentie quelques secondes plus tard était très importante. La bâtisse a bougé, on ressentait la vibration par le plancher. Personne ne bougeait puisqu'on ne savait combien de temps ça allait durer. Un collègue m'a mentionné qu'il avait entendu le plafond craquer au dessus de sa tête au même moment. Quoiqu'il en soit, à ce stade, nous étions tous convaincus qu'il s'agissait d'un tremblement de terre et que oui, il fallait sortir de là avant qu'une deuxième secousse d'importance se manifeste. Les escaliers de secours étaient bondés et nous avons tous été évacués d'urgence.

Nancy L'Étoile, Ottawa

-J'étais à Ottawa, au 18ième étage d'un hôtel pour une conférence. Lorsque la terre a commencé à trembler, tout l'édifice tremblait: les vitres, la structure, le plancher. Et bien que le séisme lui-même n'ait duré qu'une trentaine de secondes, l'édifice a tremblé plusieurs minutes. J'en tremble encore!!!!

Danielle

-J'étais en conférence téléphonique avec le Saguenay. J'ai mentionné le séisme, et ils l'ont senti 70 secondes plus tard. Ça donne entre 25 000 et 30 000 km/h de déplacement.

Jean LaRoche, Pierrefonds

-Je suis au centre-ville de Montréal et j'ai très bien ressenti la secousse.

Le plus étrange, c'est que je suis de retour au Québec après avoir passé 4 ans en Californie, à San Francisco. Là-bas, j'ai vécu deux ou trois tremblements de terre dont la magnitude dépassait 4. Malgré mon «expérience» californienne, on ne s'habitue jamais. Ce midi, quand j'ai senti les premières secousses, mon coeur s'est mis à battre plus fort que d'habitude.

Yanik Crépeau, Montréal

-En plein cours à l'Université d'Ottawa... On s'imagine que les gens en classe au-dessus de nous déplacent les pupitres, pour ensuite réaliser que tout bouge et que maintenant NOS pupitres bougent. Tu t'imagines à l'instant que le plafond te tombe sur la tête... que tu n'auras pas le temps de sortir... Et l'instinct frappe: tu pousse les gens pour les faire sortir et par le fait même sortir toi aussi. Une fois dehors j'ai pensé à mon fils, mon mari et mon coeur battant à 1 million de tours je leur ai dit: «Je vous aime!»

Nous avons tous été évacués des lieux pour le reste de la journée...

On ne croit jamais que l'intensité d'un moment pareil puisse survenir. Mais nous sommes tous vulnérables! Je ne fais qu'imaginer

depuis cet après-midi les gens dans ce monde qui ont vu les murs tomber....

Marie-Ève, Ottawa

-Je peux vous dire qu'au 6e étage d'un édifice gouvernemental je devais me tenir très solidement avant de prendre les escaliers les plus proches afin de sortir dans la rue, j'étais au Saguenay lors de ma dernière expérience mais rien de plus effrayant que d'être dans un édifice loin du sol.

Yves Desmeules, Gatineau

-Je travaille au 19ème étage d'un édifice à Ottawa. Nous avons très bien ressenti le tremblement de terre, qui a été assez impressionnant à cette hauteur! Les édifices ont tous été évacués... J'ai du retourner à la maison sans clés ni portefeuille, et attendre que mon propriétaire revienne du travail pour m'ouvrir!

Julie

-J'étais dans un Centre d'achats du secteur Hull assis sur un tabouret boulonné à la dalle de béton du sous-sol et accoudé à un comptoir. Je sirotais un café et dégustais une croustade aux pommes. Deux fois la dalle s'est soulevée, le tabouret a basculé vers l'avant de même que le comptoir. Cela a duré environ dix secondes. Le café n'avait plus le même goût...

Sylvain Boucher, Gatineau

-C'est la première fois que je ressens une secousse au Canada. Étant originaire d'une région sismique, Djibouti, donc ayant déjà ressenti des secousses, je peux vous que j'ai eu peur tellement les vibrations étaient prononcées. Je me demande si les édifices gouvernementaux sont assez solides. J'étais au centre-ville d'Ottawa (dans un de ces immeubles) au moment des secousses.

Winchell Rousseau

-Simplement pour vous dire que j'ai très bien ressenti ce tremblement de terre alors que je me trouve aux Bergeronnes, à 20 km à l'est de Tadoussac sur la Côte-Nord. Il ne fait aucun doute qu'il s'agissait de ce tremblement. Je sentais le plancher bouger sous ma chaise (grosse vibration). Sur le coup, je me suis dit que ce devait être un tremblement de terre, mais j'ai quand même douté. J'ai eu la confirmation en allant voir sur Cyberpresse.

Pascal Côté

-Nous sommes environ 600 travailleurs au Regroupement Loisirs Québec, situé dans les sous-sols et anciens stationnements du Stade Olympique. Malgré la «profondeur» de nos locaux, nous avons très bien senti la secousse. D'ailleurs, laissez-moi vous dire que c'est très peu rassurant de sentir une secousse à cet endroit, sachant qu'il nous faut plusieurs minutes pour sortir du stade et qu'on entend les grenailles de mortier tomber dans l'entre toit au-dessus de nos têtes. Y'a eu aucun vent de panique, mais probablement que certaines personnes, dont moi, se sentent pas mal moins en sécurité à l'heure qu'il est.

J'appréhende une réplique...

Valérie Trudel

-Je suis à mon chalet de Papineauville, dans l'Outaouais, à moins de 40 km de Buckingham, et j'ai très bien ressenti le tremblement de terre aujourd'hui.

C'était peu après 13h30 selon moi. Le tout a commencé par une sorte de détonation et j'ai d'abord pensé qu'il s'agissait d'une explosion car des travaux importants d'excavation se font actuellement dans la région. Mais des vibrations moins intenses se sont poursuivies pour une vingtaine à une trentaine de secondes, je dirais, vibrations accompagnées d'un grondement sourd.

Pas de dommages constatés, pas même d'objets qui auraient pu tomber à cause des vibrations.

Notre chalet est construit sur du rocher. Je crois que cela fait ressentir plus intensément le tremblement de terre. Mais peut-être est-ce le contraire?

Sylvie Lamarre

-Au troisième étage d'un vieux bâtiment au centre-ville d'Ottawa, c'était assez impressionnant.

Après 5 secondes de secousse, nous avons réalisé que ça allait continuer alors nous avons pris nos jambes à notre cou et couru vers la sortie de l'immeuble.

La ville entière est paralysée, tout le monde est dehors.

Alexandre Laquerre

-J'ai ressenti le tremblement de terre dans mon appartement de Gatineau (secteur Hull, à 30-40 km de l'épicentre). La secousse a duré une vingtaine de secondes, avec une montée progressive en force. En sortant sur mon balcon en béton, au deuxième étage, je pouvais le sentir osciller de gauche à droite. Le bloc ne semble pas avoir subi de dommages structurels, mais le réservoir d'eau chaude a éclaté, ce qui a amené une coupure d'eau qui dure encore. Le système d'alarme s'est déclenché, et la ligne téléphonique a été coupée pendant quelques minutes. Plusieurs voisins, surtout aux étages supérieurs, ont eu quelques bris mineurs de vaisselle et d'aquariums, par exemple.

Il ne semble y avoir aucun dommage aux bâtiments dans mon secteur.

Joël Lagrandeur

-Je suis à Toronto, au 12ième étage d'un immeuble à bureaux de 13 étages situé en bordure de l'autoroute 401 à Scarborough.

Le plancher s'est mis à trembler, puis l'édifice s'est mis à se balancer au point où les jardinières de plantes suspendues au plafond se balançaient aussi, de même que les portes entrouvertes qui bougeaient de quelques centimètres.

Cela a duré pendant environ 15 ou 20 secondes. Aucun dommage n'a été rapporté.

François Ouellette

-J'étais en formation au 9ième étage d'un hôpital et nous croyions que c'était les mécanismes d'ascenseur qui s'enclenchaient, mais lorsque le tremblement ne s'arrêtait pas nous avons compris qu'il y avait bel et bien un tremblement de terre. Le plancher bougeait comme lorsqu'on saute UN PEU sur un trampoline, et la poussière de plâtre s'est mis à tomber du plafond. C'est à ce moment que quelqu'un à crié TOUT LE MONDE DEHORS!!!! ... 10 minutes plus tard, une évacuation plus intense n'était pas nécessaire, nous sommes entrés faire notre travail. Mais nous avons eu «la chienne de notre vie» !!!!

C'était vraiment intense!! Ensuite, nous essayions de prendre des nouvelles de nos proches autour, les téléphones ne fonctionnaient plus... aucun signal!!!

Sandra de Gatineau

-Mon nom est Louise et je travaille au centre-ville d'Ottawa. Mes collègues et moi avons très bien senti les secousses, à partir du 7ème étage de notre édifice à bureau. Nous avons eu peur puis avons évacué l'édifice. Plusieurs d'entre-nous ont pensé à une attaque, particulièrement dans le contexte du G8-G20, il y a des manifestations au centre-ville, alors on pense à toutes les possibilités! Puis nous avons réalisé que ce n'était qu'un tremblement de terre. Après quelques minutes, nous avons pu reprendre nos activités, mais je dois dire que je n'ai pas la tête au travail après tant d'émotions! Cet événement est sur toutes les lèvres en ce moment au centre-ville d'Ottawa...

Pour avoir vécu aussi le tremblement de terre de Chicoutimi en 1988, l'événement d'aujourd'hui a rappelé des souvenirs.... Seulement, je suis maintenant 20 ans plus âgée!

Louise

-Je demeure à Jonquière et j'ai ressenti un léger frémissement , assise dans ma cuisine. D'abord, je pensais à un gros camion ou encore, un dynamitage, car il y en a dans mon coin ces temps-ci. Mais me rendant compte que ce n'était rien de ces deux cas, j'ai pensé à un tremblement de terre! Et voilà que vous confirmez mes doutes!!

Josée Ouellet

-Ma fille de 11 ans et mois étions en train de choisir des articles de fête au fond d'un petit magasin à un dollars lorsque le séisme est survenu. Lorsque nous avons tenté de nous enfuir, nous avons été confrontées à de grands cadres et miroirs qui tombaient des tablettes du haut et éclataient en morceaux sur le sol avec des éclats de vitre brisée qui volent dans toutes les directions. Nous avons dû rebrousser chemin vers l'arrière pour emprunter une autre allée et sortir à la course. Ma fille criait de terreur et ce n'est qu'après de chaudes larmes et de longues minutes qu'elle a réussi à se calmer. Je ne lui ai pas laissé voir que dans le fond, j'étais moi aussi affolée puisque je n'avais jamais en 38 ans de vie fais face à une telle situation. Je n'ose pas imaginer ce qui serait arrivé si nous aurions réagit ne serait-ce que 2 secondes plus rapidement et nous nous étions mises à courir dans cette étroite allée puisque c'est sur nous que les cadres et miroirs seraient tombés. Ouf! Nous ne l'oublierons pas de si tôt.

Hélène Durand de Gatineau

-Une secousse surprenante, longue et régulière, faite de vibrations légères mais systématiques qui me donnèrent l'impression, en ce tout début d'après-midi, assise à mon bureau, que quelqu'un venait me surprendre derrière moi. Je me suis d'ailleurs retournée subitement et, bien que le reste de mon équipe vaquait à ses affaires habituelles, je ne pensais qu'à me réfugier sous mon bureau, même si je pouvais être prise pour une folle.

Plusieurs secondes de vibrations pendant lesquels mon cerveau a erré dans tous les sens, allant de l'impression, connue, de ressentir les chocs dus à des travaux de réparation à proximité à celle, plus inquiétante, de vivre un malaise cardiaque à l'intérieur de notre corps. Quelques secondes bien marquantes qui me laissent à l'affut du moindre bruit ou mouvement insolite, jamais très loin des images terrifiantes de Haïti.

Allez, j'essaie de me reconcentrer pour terminer cette «drôle» de journée à Québec qui a commencé ce matin si tragiquement à l'Aéroport de Québec... La fête aura un drôle de goût ce soir.

Élisabeth Farinacci

-La secousse a été sentie, bien que faiblement, ici à Rivière-du-Loup.

Michel Roy

-Nous avons ressenti le tremblement de terre très clairement ici à Québec. Tout l'édifice de nos bureaux tremblait, et nous avons eu une belle frousse! Je croyais que mes classeurs allaient tomber par terre! La secousse s'est faite ressentir pendant une vingtaine de secondes, plus ou moins.

Marcelle Labonté

-Ici, dans la partie est d'Ottawa, je l'ai ressenti fortement -- la maison et l'air ont vibré, avec les sons de la vaisselle, et un son comme un hélicoptère (un hélicoptère qui est très, très près). Je me demande quelle est la situation dans les parties de la région bâties sur l'argile épais (nous sommes ici sur le roc).

Charles Siegel

-J'étais debout dans ma cuisine lorsque j'ai ressentie la secousse. Puisque j'habite près d'un chemin de fer (Vaudreuil-Dorion) et qu'il y a parfois des trains de marchandises, j'ai immédiatement pensé que c'était un train... Quand je me suis aperçue que la maison ''brassait'' pas mal plus qu'à l'habitude, je me suis questionnée à savoir si c'était vraiment un train ou plutôt un tremblement de terre. J'avoue que j'ai commencé à m'inquiéter car, même si ça n'a duré que 10 secondes, je sentais que le tremblement augmentait. Les tremblements ont diminué lorsque je m' apprêtais à aller chercher mon bébé assise dans le salon afin de l'éloigner des bibliothèques...juste au cas où!

Chantale fournier

-Ma fille était à l'ordinateur au sous-sol. Son verre d'eau et l'ordinateur ont bougé. Notre chien, un Westie, s'est levé d'un bond.Moi, à notre bureau de Longueuil, je n'ai rien ressenti.

Sylvie Brunet, Varennes

-Je suis au centre ville de Montréal, au dernier étage d'un édifice de 20 étages. Wow! Quelle sensation de sentir l'immeuble bouger comme ça, on se croirait un 11 septembre. Moi et mes collegues ne savions pas ceux qui se passait, on aurait dit une bombe en direct du G -20 ...

Khoa chu

-Pour une fois que je pouvais me permettre une petite sieste. J'étais allongée sur mon lit et auparavant j'avais allumé mon nouvel air climatisé. Tout d'un coup, mon lit vibre et j'entends un léger son de moteur ou de fenëtre??? Sur le coup, je crois que mon air climatisé a un problème, ce qui m'alerte rapidement. Je me redresse alors pour ëtre prëte à éteindre le courant de l'appareil, mais non! Youppi, ça me rapelle trois moments différents ou j'avais déjà resentie un tremblement de terre. Sans éteindre l'air climatisé, je prends le temps d'écouter et de ressentir... C'est assuré, ç'en est un puisque mes bibelots et mes colliers vibrent légèrement et fond une petite musique toute légère! Ce fut très court! Environ 10 secondes qui s'ajouteront dans mes petits souvenirs de mini tremblement de terre.

Joane R., Montréal

-Je suis située à Cap-Rouge, en banlieue de Québec. J'ai très bien ressenti le «courant» du tremblement de terre. J'ai senti une espèce de «rouli » sous moi et les murs ont craqué. Il n'y avait toutefois aucun bruit. C'est juste un moment très inquiétant qui est passé.

Nicole St-Hilaire, Cap Rouge

«Nous sommes à l'Institut de Réadaptation en Déficience Physique de Québec et nous avons ressenti le tremblement de terre.»

Marie-Hélène Lapointe-Veilleux

-Je suis au Témiscamingue à Lorrainville et nous avons ressentis la secousse.

Assis dans mon bureau mes bibliothèques, mon bureau et mes stores se sont mises à bouger.

Terry Caron

-J'ai ressenti la secousse assez pour voir mon ventilateur chambranler à Shawinigan, en Mauricie. Ça a duré quelques secondes.

Mélanie Coulombe

-J'habite Greenfield Park sur la rive-sud de Montréal et j'ai effectivement senti le tremblement de terre.

Johanne Poitras-Brien

-Je l'ai senti ici au bureau dans le Vieux-Québec. C'était très ténu, mais j'ai regardé mon verre d'eau et ça tremblait légèrement. C'était juste assez évident pour que ça attire mon attention et que je me dise que j,allais regarder les nouvelles pour voir s'il y avait un tremblement de terre. Je pense que j'ai ma réponse!

Marie-Jules Bergeron

-Nous avons ressenti la secousse à Brossard, comme si un camion rentrait dans notre bâtiment et nous avons "shaké" quelques secondes. Nous étions en réunion avec des collègues du centre ville qui ont vraiment été surpris.

Alexandra Bernier

-J'habite à Laval et j'ai ressenti la secousse vers 13h45.Il y a des travaux dans notre rue présentement mais à ce moment-là je ne voyais aucun tracteur ni camion tout près et j'ai constaté que c'était un tremblement de terre.

Jeanne Masse

-J'ai nettement ressenti la secousse durant plus d'une dizaine de secondes, dans les bureaux du journal Nord Info situés rue Turgeon, à Sainte-Thérèse.

Isabelle Perreault

-Nous avons ressenti une secousse vers 13h45 en ce 23 juin 2010.

Carole, Val-d'or, Abitibi, Québec

-Du deuxième étage dans mon bureau de travaille, au départ ce fût un craquement. J'ai regardé à l'extérieur et puis là j'ai vraiment senti la maison bouger de gauche à droite, indiquant effectivement que l'épicentre était soit vers Drummondville ou tel que mentionné la région de l'outaouais.

L'entre-toit et mon grenier au bien craqué pendant que les murs de la maison me semblait oscillé devant mes yeux.

Plus de 10 secondes, je savais toutefois ce qui arrivait car il y a quelques années vers 7 am une situation semblable était arrivé et je m'étais précipité pour voir si les roches du Mont était entrain de débouler.

Alors aucun dommage chez moi.

Jimmy

-Nous sommes de St-Alphonse-Rodriguez (village dans la région de Lanaudière, 20 min. de Joliette) et nous avons nous aussi ressentis la secousse!

Jessica Ayotte

-Je travaille au 7ième étage d'un immeuble situé au centre ville de Montréal et nous avons très bien ressenti le tremblement de terre et ce pendant plusieurs «longues» secondes.

Au début, je croyais qu'il s'agissait de travaux dans l'édifice mais après quelques instants mes collègues de travail sont tous sortis de leurs aires de travail chacun leur tour en demandant «est-ce un tremblement de terre, ou quoi ?»

Une collègue de travail a un copain qui lui a téléphoné de la Pennsylvanie où ils on aussi ressenti le tremblement.

Louise Véronneau, Boucherville