Les investisseurs cherchent des façons novatrices de diversifier leur portefeuille. Les catégories d'actifs non traditionnels, aussi appelés « actifs alternatifs », répondent à ce besoin.

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

Il n'y a pas que les actions et les obligations dans la vie ! Depuis la récession, l'intérêt pour les catégories d'actifs non traditionnels ou alternatifs est monté en flèche. Ce marché n'était pas accessible aux petits épargnants il n'y a pas si longtemps encore. Seuls les investisseurs institutionnels et les personnes les plus fortunées connaissaient l'existence de ces véhicules. Le grand public peut désormais penser à inclure dans son portefeuille un large éventail de fonds négociés en bourse et de fonds communs de placement.

C'est le temps de s'y intéresser

Bien que liés au marché boursier, les actifs alternatifs assurent une liquidité journalière, des frais très bas et les mêmes protections que les fonds communs de placement traditionnels. « Même si les actifs alternatifs gagnent en popularité, la plupart des investisseurs ne sont pas encore familiers avec ces véhicules, reconnaît François Provost, Vice-président régional, Ventes au détail, Québec chez Placements Mackenzie. Dans le contexte économique actuel, c'est vraiment le temps de s'y intéresser. Comme les actions sont aujourd'hui très élevées, n'est-ce pas le temps d'introduire dans son portefeuille des actifs qui performeront bien, le jour où elles chuteront ? »

Demander conseil

Les actifs alternatifs ne sont cependant pas à l'abri des risques, et la diversité doit rester le mot d'ordre. « Bien choisis, ces actifs peuvent contribuer à réduire les risques, mais s'ils sont mal compris, ils peuvent faire plonger un portefeuille », prévient François Provost. Il estime que les investisseurs doivent absolument travailler en étroite collaboration avec un conseiller financier qui maîtrise le marché des catégories d'actifs non traditionnels et qui saura avoir une vue globale du portefeuille de son client.

Convaincu que les actifs alternatifs occuperont une part de marché de plus en plus grande, François Provost suggère, tant aux conseillers financiers qu'aux investisseurs, de commencer à s'y intéresser. « Il faut d'abord bien analyser le portefeuille actuel afin de cerner les actifs susceptibles de générer soit de bons rendements, soit de trop gros risques. Après avoir pris en compte ces facteurs, il faut remplacer les moins bons éléments du portefeuille par des actifs alternatifs prometteurs. »

VISITEZ le site de Placements Mackenzie