À 45 ans, Andrea Ryan n'a jamais été aussi en santé : elle fait attention à ce qu'elle mange, prend des suppléments, ne boit pas et a arrêté de fumer il y a des années.

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Elle a aussi un petit bonhomme de 6 ans qui lui procure des séances d'entraînement régulières. Mais il y a 10 ans, le portrait était plus sombre : après avoir vécu avec l'hépatite C pendant environ 20 ans, sa santé avait commencé à se détériorer. 

« J'avais du mal à me lever le matin, à marcher, même à vomir, et toutes sortes de problèmes de santé terribles », raconte-t-elle depuis son domicile d'Ottawa. Ses symptômes l'ont incitée à chercher une façon de gérer son hépatite C à long terme.

Une maladie sournoise

L'hépatite C est une maladie transmise par le sang qui peut causer des douleurs articulaires, une diminution de l'appétit et de la fatigue. À mesure que la charge virale augmente, elle attaque le foie, causant généralement une insuffisance hépatique et, parfois, un cancer du foie. La plupart des gens vivent avec la maladie sans le savoir - et ce, pendant des années - avant que les premiers symptômes apparaissent. C'était le cas pour Andrea, qui ne sait toujours pas comment elle l'a contractée. 

Après avoir donné naissance à son fils, elle voulait recouvrer la santé, mais à cette époque, le seul traitement disponible présentait un taux de réussite global de moins de 50 %. Il venait aussi avec son lot d'effets secondaires : amincissement des cheveux, fatigue inhabituelle et nausées. Pour la maman d'un jeune enfant, ce n'était pas vraiment une option.

« C'était quelque chose que je ne pouvais même pas imaginer », relate Andrea. Son médecin lui a expliqué que le coût de cette nouvelle classe de médicaments pourrait être couvert, mais seulement si son foie était touché de façon grave.

L'essai qui a tout changé

Par la suite, il lui a offert une bouée de sauvetage : un essai clinique. Elle avait des inquiétudes : cela fonctionnerait-il? Serait-elle ensuite inadmissible à un autre essai clinique? Elle a cependant mis ses craintes de côté en pensant à son fils. 

« Je devais faire tout en mon pouvoir pour prolonger ma vie. Je devais être là pour mon fils. » 

La bonne nouvelle, c'est que cet essai clinique lui permis d'atteindre son but. Voilà un éloquent rappel des raisons pour lesquelles les essais cliniques canadiens sont essentiels aux patients qui attendent désespérément de nouvelles découvertes et de nouvelles technologies.

« Je fais assurément partie des personnes chanceuses », conclut Andrea.

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