Série 3 de 4 - « La plus grande migration de l'histoire humaine. Réveillez-vous un siècle plus tard, sur une nouvelle planète, sans avoir vu le temps passer. » C'est dans ce contexte que nous plonge la prochaine mégaproduction de SONY, Passagers. Mettant en vedette la sublime Jennifer Lawrence et l'attachant Chris Pratt, le film prendra l'affiche le 21 décembre prochain.

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Créer l'illusion d'un autre univers

Les premières images du nouveau film de Morten Tyldum promettent des effets spéciaux extraordinaires et de l'action à couper le souffle... Il est vrai qu'en 2016, les technologies liées aux effets spéciaux du 7e art sont époustouflantes par leur qualité et leur niveau d'avancement. D'ailleurs, le Québec s'illustre très bien dans cette discipline et est devenu l'un des pôles mondiaux reconnus du secteur des effets spéciaux cinématographiques. Et si l'on regarde les grands succès récents de Gravité et d'Interstellaire, on comprend bien que l'espace est un terrain de jeu très stimulant pour créer une nouvelle réalité et convaincre le public de son existence.

Tour guidé du vaisseau et de ses passagers

Prenez place à bord du Starship Avalon, un vaisseau spatial faisant route vers une lointaine planète colonisée. Plus de 5 000 passagers y sont plongés en animation suspendue, d'une durée prévue de 120 ans. Cependant, les capsules d'hibernation d'Aurora (Lawrence) et de Jim (Pratt), dysfonctionnelles, réveillent leurs occupants 90 ans trop tôt. On suit alors les deux protagonistes à bord de cet immense vaisseau à l'architecture impressionnante, composé de pièces ultra modernes, avec quelques androïdes pour toute compagnie.

Des pièces construites sur mesure

La baie d'hibernation est l'une des plus grandes pièces construites pour le plateau de tournage : mesurant 120 pieds de large par 190 pieds de long, elle est tout simplement énorme. C'est là que les autres passagers sommeillent paisiblement (de véritables acteurs sont restés dans leurs capsules durant des heures à « dormir »). Situé à l'avant du vaisseau, le poste d'observation présente quant à lui des murs courbés et plusieurs détails intéressants, comme des échantillons de météorites rappelant la menace sur Terre.

Les cascades : pour un effet encore plus vrai!

Réalisant lui-même une bonne partie de ses cascades, Chris Pratt a eu un plaisir fou à tourner les scènes plus aventureuses. « Ok, je m'apprête à conduire cette voiture de golf pour passer à travers des murs. Voilà, c'est ça mon métier », affirme-t-il en riant dans l'une des vidéos promotionnelles du film.

Le double numérique de Chris Pratt

L'équipe de Passagers a eu recours à la photogrammétrie pour réaliser le film, soit une technique qui reconstitue une copie 3D exacte de la réalité. On parle ici de plus de 93 caméras qui s'assurent de prendre un sujet en photo sous tous les angles. Cela permet une authenticité incroyable dans toutes les scènes imaginables.

Qui dit vaisseau, dit robot

Un autre passager s'illustre à bord du Starship Avalon : le barman androïde Arthur, incarné par Michael Sheen. Au premier abord, il semble tout à fait normal derrière son bar, alors qu'il ne possède en fait pas de jambes. Pour faire bouger Arthur agilement dans l'espace où il évolue, les ingénieurs ont créé un système à roues, opéré à distance par un ordinateur, sur lequel l'acteur prenait place. Sheen indique d'ailleurs : « c'était un mode de déplacement un peu étrange au début, je me sentais limité. Mais c'est ensuite devenu une caractéristique de mon personnage.»

Passagers est sans aucun doute le fruit du travail de longs mois de conception et d'innovation. Les spectateurs voyageront dans l'espace, mais aussi dans la vision de Tyldum.

À lire dans le prochain XTRA sur lapresse.ca : tous les éléments de Passagers qui contribuent à distinguer le film des autres classiques de science-fiction.