Moins du tiers des parents savent quoi faire quand leur enfant se brûle sérieusement, selon une étude britannique.

Les urgentologues de l'Université de Galles, qui ont interviewé une centaine de parents dont l'enfant s'était brûlé, rapportent que dans 5% des cas, l'intervention était même néfaste (par exemple, l'application d'un corps gras).

L'éducation et le revenu n'amélioraient pas les soins, mais le fait d'avoir suivi un cours de premiers soins, oui. C'était le cas de 40% des parents sondés.