Annick Guillaume, belle grande femme de 24 ans, est étudiante en comptabilité de jour. Et cheerleader de compétition - celles qui font des acrobaties et des pyramides - le soir venu. Voyez ses cinq trucs pour garder les pieds sur terre.

Cheerleading chéri

Après avoir arrêté le sport au cégep, Annick a retrouvé le goût de bouger en se joignant à l'équipe de cheerleading des Citadins de l'UQAM, il y a trois ans. «Le cheerleading m'a appris à me faire confiance, à me pousser plus loin, dit-elle. Faire un backflip [renversé arrière], ça fait peur au début. Dernièrement, j'y suis arrivée sans les mains. C'est le fun!»

Amour de la profession

«Avant, j'étudiais en actuariat, dit Annick. J'ai changé de programme parce que je trouvais l'actuariat trop abstrait et les maths, trop poussées. À la fin, je n'aimais plus ça...» Au lieu d'être malheureuse toute sa vie professionnelle, la jeune femme s'est réorientée vers la comptabilité. Son objectif: décrocher son diplôme au printemps 2015.

Horaire antistress

«Je déteste être stressée», indique Annick. Plus facile à dire qu'à faire, quand on étudie à temps plein, qu'on a quatre entraînements sportifs par semaine et un boulot de vendeuse qui accapare 10 autres heures par semaine. «Je me fais un horaire pour rester à jour dans mes affaires, et je le suis», explique-t-elle.

Télé thérapeutique

«Le soir, je regarde la télévision avec ma mère, dit Annick, qui vit avec ses parents. On est calmes, on rit, c'est notre moment en famille.» Mère et fille sont fans d'émissions américaines - il faut dire que la famille a vécu aux États-Unis. «On en regarde un peu trop!», dit la jeune femme en rigolant.

Dimanches sacrés

Le dimanche matin, Annick prend le déjeuner en famille, avec ses parents et son frère. «On prépare des oeufs, des crêpes, du bacon, des saucisses, du jus d'orange, énumère-t-elle. Tout le monde met la main à la pâte. Le dimanche, c'est sacré, et ça fait du bien.»