On savait qu'être triste n'incite pas à faire de l'exercice. Mais être heureux non plus, selon une nouvelle étude new-yorkaise. Le mieux est d'avoir une humeur égale, parce que cela prédispose à la routine et à ses tâches parfois rebutantes, selon les chercheurs, qui ont montré à 150 étudiants des extraits de films tristes, neutres ou gais avant de leur poser des questions sur leur envie de faire du sport.

Petits insomniaques

Écouter moins d'émissions de télévision violentes améliore de 64 % le sommeil des petits enfants, selon une étude américaine. Les pédiatres de l'Université de Washington ont suivi 565 enfants de 3 à 5 ans, dont 12 % prenaient plus de 20 minutes à s'endormir presque chaque jour. Un enfant sur cinq se réveillait quelques fois durant la nuit, plusieurs fois par semaine.

L'anorexie littéraire

Les magazines de mode ne sont pas les seules lectures qui poussent les femmes à s'inquiéter de leur poids. Les romans de «chick lit» sont aussi coupables, selon une étude américaine. Les chercheurs de l'Université Virginia Tech ont fait lire à 160 étudiantes un passage du livre Something Borrowed d'Emily Griffin, en modifiant le poids de l'héroïne, pour en arriver à cette conclusion.