Naked and Famous? Le nom me rappelait vaguement quelque chose mais un tour sur le site Internet de la marque montréalaise soulignait que des pages de La Presse à celles de Loulou, Naked and Famous s'étaient surtout beaucoup illustrés à l'étranger comme en témoignent les couvertures de GQ, Monocle ou Harper's Bazaar.

Et pour cause: les jeans ont été d'abord adoptés chez les Ricains: Barney's et GQ ont été les premiers à tomber amoureux de ces jeans annonciateurs d'une ère nouvelles. Depuis, le Canada (of course!), le Japon et l'Europe se sont aussi laissés séduire par des jeans faits au Canada avec du denim japonais.Sur le denim japonais, Brandon Svarc pourrait discuter pendant des heures. Mais ce qu'il aime aussi, quand il parle de Naked and Famous, c'est surtout écorcher les grandes marques de jeans chers qui ont poussé comme des champignons dans les années «bling-bling».

«On a vu tellement de choses débiles se faire, tellement de bullshit», se souvient Svarc, en référence à des marques telles que William Rast (la marque de Justin Timberlake) qui ne vendent pas des jeans mais du glamour selon lui.

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