Alors que les États-Unis et la France évoquent une éventuelle intervention militaire en Syrie, des partisans pro et anti-régime se livrent une guerre virtuelle dans l'ombre du conflit.

D'un côté, l'Armée électronique syrienne, affiliée au régime de Bachar Al-Assad, a revendiqué l'attaque contre le New York Times et Twitter de mardi dernier.

De l'autre, des hackers liés au groupe Anonymus soutiennent avoir piraté des sites gouvernementaux syriens, comme l'agence de presse officielle Sana et le site de la ville d'Alep. 

Selon un hacker américain, ces failles dans la sécurité de certains réseaux constituent une vraie mine d'or pour quiconque saurait s'en servir. 

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