La surveillance des communications électroniques est considérée comme la priorité de l'année par la police fédérale américaine.

La déclaration du président Barack Obama le 23 mai où il évoque la réévaluation «des pouvoirs des forces de police, afin de pouvoir intercepter de nouveaux types de communications» n'a pas manqué de faire réagir les acteurs des nouvelles technologies et les défenseurs des libertés individuelles, les premiers anticipant une faille de sécurité pour les utilisateurs, les autres une atteinte à la vie privée.

À lire sur le Nouvel Observateur.