Des blogueurs qui se plaignent de prise ou de perte de poids, de troubles de sommeil, de fatigue extrême: le Web fait la vie dure à ceux qui y vivent, rapporte le New York Times.

Selon le quotidien new-yorkais, la frénésie du Web pousse les blogueurs et les gens qui gagnent leur vie sur le Web à adopter un rythme de vie particulièrement effréné.

«Il n'y a aucun moment - incluant quand je dort - où je ne suis pas inquiet à l'idée de rater une histoire», dit Michael Arrington, fondateur du populaire blogue TechCrunch, consacré à la technologie.

À lire sur le New York Times.