Le Financial Times a annoncé lundi qu'il allait accroître le contenu en accès libre sur son site internet, peu après l'annonce d'une mesure semblable par le New York Times et d'un projet en ce sens du Wall Street Journal.

Le Financial Times a annoncé lundi qu'il allait accroître le contenu en accès libre sur son site internet, peu après l'annonce d'une mesure semblable par le New York Times et d'un projet en ce sens du Wall Street Journal.

Annonçant un nouveau «système de paiement innovant et une expansion du site», Ien Cheng, éditeur de l'adresse FT.com, a indiqué que les articles et les données qui étaient actuellement réservés aux abonnés seront gratuits à partir de la mi-octobre, dans la limite de trente par mois. Au-delà de ce nombre, un abonnement restera nécessaire.

«Le nombre de trente n'est pas un hasard. Nous avons soigneusement étudié comment les gens se rendent sur notre site. Nous avons toujours estimé que le journalisme que nous produisons a une valeur pour notre clientèle la plus fidèle. Ce nouveau modèle nous permet de préserver ce principe tout en faisant en sorte que notre matériel soit plus accessible à l'univers du web», a ajouté M. Cheng, cité sur FT.com ainsi que la version papier du journal. Le FT.com est déjà en grande partie gratuit, un abonnement n'étant requis que pour certaines archives.

«Nous pensons que de nombreux utilisateurs de FT.com (... ) rejoindront les rangs de nos abonnés», a estimé John Ridding, directeur général du FT. Le site va par ailleurs accroître son contenu, notamment vidéo.

Le New York Times avait annoncé mi-septembre qu'il allait rendre gratuit son site sur internet, la publicité en ligne compensant largement le revenu des abonnements. Le quotidien est dorénavant entièrement accessible gratuitement sur son site en ligne.

Les archives du journal, depuis 1987, pourront être ainsi consultées ainsi que celles allant de 1851 à 1922. Certaines seront toutefois payantes.

Le Wall Street Journal, seul grand journal américain à avoir encore un site payant pour la plupart de ses articles, a quant à lui récemment indiqué envisager de rendre son site entièrement gratuit, après le rachat de Dow Jones, maison mère de WSJ, par le groupe du magnat Rupert Murdoch, News Corp.

Le Financial Times accroît à son tour l'accès gratuit à son site

Le Financial Times a annoncé lundi qu'il allait accroître le contenu en accès libre sur son site internet, peu après l'annonce d'une mesure semblable par le New York Times et d'un projet en ce sens du Wall Street Journal.

Annonçant un nouveau »système de paiement innovant et une expansion du site», Ien Cheng, éditeur de l'adresse FT.com, a indiqué que les articles et les données qui étaient actuellement réservés aux abonnés seront gratuits à partir de la mi-octobre, dans la limite de trente par mois. Au-delà de ce nombre, un abonnement restera nécessaire.

«Le nombre de trente n'est pas un hasard. Nous avons soigneusement étudié comment les gens se rendent sur notre site. Nous avons toujours estimé que le journalisme que nous produisons a une valeur pour notre clientèle la plus fidèle. Ce nouveau modèle nous permet de préserver ce principe tout en faisant en sorte que notre matériel soit plus accessible à l'univers du web», a ajouté M. Cheng, cité sur FT.com ainsi que la version papier du journal. Le FT.com est déjà en grande partie gratuit, un abonnement n'étant requis que pour certaines archives.

«Nous pensons que de nombreux utilisateurs de FT.com (... ) rejoindront les rangs de nos abonnés», a estimé John Ridding, directeur général du FT. Le site va par ailleurs accroître son contenu, notamment vidéo.

Le New York Times avait annoncé mi-septembre qu'il allait rendre gratuit son site sur internet, la publicité en ligne compensant largement le revenu des abonnements. Le quotidien est dorénavant entièrement accessible gratuitement sur son site en ligne.

Les archives du journal, depuis 1987, pourront être ainsi consultées ainsi que celles allant de 1851 à 1922. Certaines seront toutefois payantes.

Le Wall Street Journal, seul grand journal américain à avoir encore un site payant pour la plupart de ses articles, a quant à lui récemment indiqué envisager de rendre son site entièrement gratuit, après le rachat de Dow Jones, maison mère de WSJ, par le groupe du magnat Rupert Murdoch, News Corp.

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