Ingenio, la filiale de Loto-Québec, n'est pas tellement payante.

Ingenio, la filiale de Loto-Québec, n'est pas tellement payante.

Ingenio, une filiale de Loto-Québec, engloutit les millions en produisant à grands frais des cédéroms et autres jeux interactifs peu populaires.

C'est ce que rapporte le Journal de Montréal dans son édition de vendredi.

Une analyse des états financiers effectuée par le quotidien de la rue Frontenac a démontré que la filiale Ingenio de la Société d'État perd 5 M$ en moyenne par année.

Les ventes de la filiale réussissent à peine à atteindre le million de dollars près de dix ans après sa création. Loto-Québec a déjà engouffré plus de 42 M$ dans l'aventure, indique le Journal.

Loto-Québec répond en revanche que le budget de cette filiale ne représente que le dixième de 1% de son chiffre d'affaires.