Les Canadiens se sont départis de quelque 67 000 tonnes d'ordinateurs, imprimantes et téléphones cellulaires désuets l'année dernière, sans réaliser apparemment que ces produits contenaient des composantes toxiques pour les humains.

Les Canadiens se sont départis de quelque 67 000 tonnes d'ordinateurs, imprimantes et téléphones cellulaires désuets l'année dernière, sans réaliser apparemment que ces produits contenaient des composantes toxiques pour les humains.

Or, selon le Programme des Nations Unies pour l'environnement, une bonne partie de ces rebuts électroniques qui aboutissent dans les pays en voie de développement peuvent s'avérer dangereux pour les populations locales.

Les rebuts électroniques incluent divers éléments toxiques comme de l'arsénic, du sélénium, du cadmium, du chrome, du cobalt et du mercure.

Plus de 160 pays, dont le Canada, se réunissent cette semaine à Nairobi, au Kenya, avec pour mission de remettre à jour la Convention de Bâle sur le contrôle des mouvements transfrontaliers de déchets dangereux et leur élimination.