Un politicien new-yorkais qui accusait Google de profiter de la pornographie juvénile a laissé tomber sa poursuite, a annoncé le géant de la recherche.
Un politicien new-yorkais qui accusait Google de profiter de la pornographie juvénile a laissé tomber sa poursuite, a annoncé le géant de la recherche.
Jeffrey Toback avait déposé sa poursuite en mai.
Le représentant démocrate qualifiait Google de plus «important distributeur de pornographie juvénile au monde». Il affirmait que la pornographie est partie intégrante du modèle d'affaire de la compagnie californienne.
La poursuite alléguait que Google tirait des revenus des publicités ciblées placées par des sites pornographiques et distribuées via Google AdSense.
Jeffrey Toback dit avoir laissé tomber la poursuite parce que «Google a offert de s'asseoir et de discuter de la question». Il dit espérer pouvoir obtenir une rencontre avec des responsables de la compagnie «dès qu'ils le pourront».
Chez Google, on se réjouit que la poursuite ait été abandonnée.
«Si monsieur Toback veut nous parler à propos de quoi que ce soit, il devrait penser aux téléphones, au courrier ou à une autre forme commune de communication, pas à une poursuite irraisonnable», a dit un porte-parole de Google.
Avec AP
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