Les spécialistes le répètent régulièrement et une nouvelle étude réalisée par le cabinet Deloitte le confirme: l'humain reste la première faille de cybersécurité dans les entreprises.

Dans plus de 6 cas sur 10, les incidents sont en effet causés par un salarié soit du fait d'une erreur soit, plus grave, d'un acte malintentionné.

Une confirmation qui intervient dans un contexte de nombre d'attaques en hausse pour 71% des entreprises interrogées par le cabinet, qui montre au passage l'intérêt de la médiatisation des attaques puisque les trois quarts ont renforcé leurs mesures de sécurité à la suite des attaques de rançongiciel Wannacry et NotPetya.