Le secrétaire général de la FIFA a déclaré qu'il n'y a pas un pays sur Terre qui soit sécuritaire à 100 % où la Coupe du monde de football pourrait être organisée sans aucun risque de manifestation violente.

C'est en ces termes que Jérôme Valcke a minimisé les récents événements violents qui ont secoué Rio de Janeiro, qualifiant les affrontements dans la nuit de mardi à mercredi entre les forces policières et les habitants des favelas de «tristes».

Valcke a toutefois voulu se faire rassurant en précisant que ces événements ne menacent pas de perturber la tenue du tournoi en sol brésilien, du 12 juin au 13 juillet.

Les émeutes ont été déclenchées dans une favela située entre les plages Copacabana et Ipanema après que le corps d'un jeune homme eut été retrouvé. Un autre homme a été tué par balles dans les événements qui ont suivi.