Nicolas Anelka «se satisfait de la décision» de justice, qui l'a pourtant débouté le 1er juillet dans son procès avec le quotidien L'Équipe, et «souhaite désormais définitivement clôturer ce dossier», selon un communiqué de l'agent du joueur transmis vendredi à l'AFP.
«Nicolas Anelka se satisfait de la décision, il n'a jamais nié qu'il a critiqué ouvertement un système de jeu lors de la mi-temps de France-Mexique mais rappelle qu'il n'a jamais voulu insulter Raymond Domenech et souhaite désormais définitivement clôturer ce dossier», indique le texte.
La justice a débouté Anelka le 1er juillet de ses accusations de diffamation envers L'Équipe, à qui il réclamait 150 000 euros (207 000$) pour avoir, durant le Mondial-2010, retranscrit en «Une» sa désormais célèbre adresse au sélectionneur de l'équipe de France: «Va te faire enculer sale fils de pute».
Le tribunal a jugé, au vu des pièces du dossier et notamment des minutes du conseil de discipline qui a débouché sur la suspension d'Anelka pour 18 matchs, que «l'ensemble des circonstances de l'affaire témoignent à suffisance du sérieux de l'enquête (des journalistes de L'Équipe), laquelle a révélé un fait désormais établi».
Anelka avait jusqu'au 11 juillet pour faire appel.