De l'avis de Luc Brodeur-Jourdain, le départ de Jim Popp est regrettable, compte tenu de tout ce qu'il a accompli pour les Alouettes. En même temps, il était devenu en quelque sorte inévitable.

«Dans son poste de directeur général, il a démontré qu'il était pleinement confiant et en possession de ses moyens. Mais c'est difficile de balayer les insuccès des quatre dernières saisons. C'est une décision de l'organisation. Lui laissait-elle des chances depuis deux ans? Je ne sais pas», a expliqué le centre lorsque La Presse l'a joint, hier. 

Brodeur-Jourdain, qui dit avoir appris la nouvelle en même temps que tout le monde, avoue avoir de la difficulté à s'imaginer ce que sera l'avenir des Als sans Popp.

«Jim était impossible à différencier des Alouettes. Les deux allaient ensemble.»